Trial in Cape Town shows that TV White Spaces can deliver broadband access without interference

Friday, November 8, 2013 | 10:00 AM

(Cross-posted on Google.org blog)

TV White Spaces—the unused spectrum between TV channels—have the potential to bring wireless broadband access to underserved and rural areas. These low frequency signals can travel long distances and fill a need in places where telecommunications infrastructure is lacking.

Google, joined by a group of partners (CSIR Meraka Institute, TENET, e-Schools Network, WAPA, and Carlson Wireless), wanted to help make this potential a reality. In March 2013, the group launched a six-month trial using TV White Spaces (TVWS) to bring broadband Internet access to 10 schools in Cape Town, South Africa. The goal of the trial was to show that TVWS could be used to deliver broadband Internet without interfering with TV broadcast.

After six months, the trial has been a success. The participating schools, which previously had slow or unreliable Internet connections, experienced high-speed broadband access for the first time. Teachers were able to use videos in their lesson plans, make Skype calls to other schools, update school websites, and send regular email updates to parents. Students could use educational videos for research. Because the service was better and faster, teachers and learners used the web to enrich the classroom experience.


At the same time, multiple sources confirmed that there was no interference with TV broadcast. Trial partner CSIR Meraka Institute performed frequent scientific studies to measure any potential interference over the six-month period. We also provided tools for people to report any interference experience while watching TV. Both the Meraka Institute’s findings, as well as crowdsourced reporting, show that the TVWS service did not interfere with local broadcast. We’ve published the final results for a deeper dive on the outcomes of the trial.

ICASA, South Africa’s communication regulator, plans to use the trial outcomes as inputs into the TVWS regulatory process. This is a big step to bringing this technology to more of South Africa. We also hope the results extend far beyond this trial and can be useful in encouraging others to consider TVWS to help bring the power of the Internet to more people in more parts of the world.



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L'essai effectué au Cap montre que les espaces blancs télévisuels peuvent fournir un accès haut débit sans interférence

Les espaces blancs télévisuels—le spectre inutilisé entre les canaux de télévision—sont à même de fournir un accès WiFi haut débit aux zones rurales ou mal desservies. Ces signaux basse fréquence peuvent transiter sur de longues distances et répondre à un besoin dans les lieux dépourvus d'infrastructures de télécommunications.

Google, rejoint par un groupe de partenaires (CSIR Meraka Institute, TENET, e-Schools Network, WAPA et Carlson Wireless), a souhaité aider à transformer ce potentiel en réalité. En mars 2013, le groupe a fait un essai sur six mois, pour exploiter les espaces blancs télévisuels (TVWS) et fournir un accès WiFi haut débit à dix écoles du Cap (Afrique du Sud). L'objet du test était de vérifier que les TVWS pouvaient fournir un accès haut débit à Internet sans interférer avec les émissions de TV.

Six mois plus tard, le test se révélait concluant. Les écoles participantes, qui ne disposaient jusque là que de connexions Internet lentes et peu fiables, ont expérimenté pour la première fois le confort d'un accès haut débit. Les professeurs ont pu se servir de vidéos pour leurs cours, communiquer avec d'autres écoles via Skype, mettre à jour les sites Internet des écoles et informer régulièrement les parents par courrier électronique. Les étudiants ont utilisé les vidéos pédagogiques pour leurs recherches. Avec un service amélioré et plus rapide, professeurs et élèves se sont davantage servi d'lnternet pour enrichir leur expérience en classe.

Simultanément, de nombreuses sources ont confirmé qu'aucune interférence ne perturbait les émissions de télévision. Un des partenaires de l'essai, CSIR Meraka Institute, a effectué de fréquentes études scientifiques pour mesurer les éventuelles interférences tout au long des six mois de test. Nous avons également fourni aux téléspectateurs des outils leur permettant de signaler toute interférence. Les résultats obtenus par le Meraka Institute, comme les rapports des téléspectateurs, ont montré que le service TVWS ne générait aucune interférence avec les émissions locales. Nous avons publié les résultats finaux pour une analyse plus approfondie.

L'ICASA, l'organisme sud-africain de réglementation des communications, prévoit d'exploiter les résultats du test comme données pour le processus de réglementation des TVWS. Il s'agit là d'un grand pas dans la mise à disposition de cette technologie pour davantage de régions sud-africaines. Nous espérons également que les résultats seront diffusés bien au-delà de cet essai et encourageront d'autres décideurs à considérer les TVWS comme un moyen d'offrir la puissance d'Internet à davantage de personnes dans davantage de régions du monde.

Books arrive on Google Play in South Africa

Thursday, November 7, 2013 | 8:00 AM

Starting today, book-lovers in South Africa can now buy books on Google Play.

Apps are already available on Google Play, and today’s launch will give users access to hundreds of thousands of books, including bestsellers and classics from hundreds of publishers. With the launch of books, Google Play becomes a key destination for the very best digital content available on the web.

With your books in the cloud you can read on the web, a phone, or a tablet and pick up right where you left off. You can discover, purchase and read books on:

  • Android phones and tablets—you can buy books in the Google Play Store and begin reading them instantly in the Google Play Books app;
  • your computer—you can buy books on the Google Play store and read in your web browser; and
  • iPhones and iPads—you can read books that you’ve purchased on the web in the Google Play Books app

We’re happy to make it even easier for all book lovers to discover and buy whatever they want to read, whether that’s the next bestseller, a new release from their favourite author or a well-loved classic. Whether you’re a bookworm or casual reader, we hope you find something great to read on Google Play, and we’re looking forward to adding more titles and South African content from today onwards. We hope you enjoy reading your books whenever you want!



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Les livres arrivent sur Google Play en Afrique du Sud

À partir d'aujourd'hui, les amateurs de livres en Afrique du Sud peuvent acheter des livres sur Google Play.

Les applis sont d'ores et déjà disponibles sur Google Play, et le lancement d'aujourd'hui va donner accès à des centaines de milliers d'ouvrages par Internet, dont des best-sellers et des classiques publiés par des centaines d'éditeurs. Google Play devient ainsi une référence pour les contenus numériques disponibles sur Internet.

Avec vos livres dans le cloud, vous pouvez lire sur Internet, sur votre téléphone ou votre tablette, et reprendre votre lecture là où vous l'aviez interrompue. Vous pouvez découvrir, acheter et lire des ouvrages sur:
  • Des téléphones et tablettes Android—vous pouvez acheter des livres sur la boutique Play Store et commencer immédiatement à les lire via l'appli Google Play Books ;
  • Votre ordinateur—vous pouvez acheter des livres sur la boutique Play Store et les lire via votre navigateur;
  • L’iPhone et l’iPad—vous pouvez lire les livres que vous avez achetés sur Internet via l'appli Google Play Books
Nous sommes heureux de rendre encore plus simples la découverte et l'achat de tout ce que peuvent souhaiter lire les passionnés de livres, qu'il s'agisse du prochain best-seller, d'une nouvelle parution de leur auteur favori ou d'un classique toujours apprécié. Que vous soyez un dévoreur de livres ou un lecteur occasionnel, nous espérons que vous trouverez votre bonheur sur Google Play, et nous allons bien entendu y ajouter de nouveaux titres et des contenus propres à l'Afrique de Sud dès aujourd'hui. Nous espérons que vous apprécierez de pouvoir lire des livres au moment où vous en avez envie!

Put your community on the map!

Monday, October 28, 2013 | 1:21 PM

Noé Diakubama, an emigrant from the Democratic Republic of Congo who now lives in Paris, is one of this century’s intrepid pioneers. Using online mapmaking tools, he created the first map of his village, Mbandaka, which he and his wife have modified more than 100,000 times since 2009. Noé literally put Mbandaka – and the people who live there – on the map.

Noé is not the only such pioneer. There is a vast and growing community of African online mapmakers creating useful, accessible maps of lesser-known areas in Africa– and transforming people’s lives in the process by making it easy for them to find social, health facilities,businesses and educational facilities.

From now till November 17, 2013 over 1,500 volunteers across Africa will team up with our community leaders comprising of Google Student Ambassadors (GSA), Google Business Groups (GBG) and Google Developer Groups (GDG) to map out areas they love and grew up in.



Volunteers will walk around a predefined locality and collect information to add to Google maps using the Google Map Maker tool once they are back at a computer connected to the internet.

Google Map Maker allows you to add and update geographic information for millions of users to see in Google Maps and Google Earth. By sharing information about the places you know, like businesses in your town or places on your school campus, you can help Google Maps to accurately reflect the world around you.

If you’re excited about this, why not pick up your laptop bag, water bottle and power cable, and team up with your nearest community leader to start putting your community on the maps. If you want to know when it coming to your town, check out this calendar and get in touch with a Google community leader near you.

Posted by Chukwuemeka Afigbo, Outreach Program Manager, Sub-Saharan Africa



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Faites apparaître votre village sur la carte !

Noé Diakubama, parisien émigré de la République Démocratique du Congo, fait partie des audacieux pionniers de ce siècle. À l'aide d'un outil de cartographie, il a créé la première carte de son village, Mbandaka, que sa femme et lui ont ensuite modifiée plus de 100 000 fois depuis 2009. Noé a littéralement inscrit Mbandaka, ainsi que les personnes qui y vivent, sur la carte.

Mais Noé n'est pas le seul pionnier dans ce cas. Aujourd'hui, les cartographes africains en ligne représentent une vaste communauté qui ne cesse de grandir. Leur contribution consiste à créer des cartes utiles et accessibles des régions les plus reculées d'Afrique et à changer ainsi la vie des populations qui s'y trouvent en leur permettant de trouver plus facilement les centres sanitaires et sociaux, les entreprises et les établissements scolaires.

À compter d'aujourd'hui et jusqu'au 17 novembre 2013, plus de 1500 bénévoles à travers l'Afrique vont faire équipe avec les "Community Leaders" dont Google Student Ambassadors (GSA), Google Business Groups (GBG) et Google Developer Groups (GDG) pour cartographier les régions qu'ils aiment et dans lesquelles ils ont grandi.

Les bénévoles ont pour mission de se rendre dans un village donné et d'y recueillir des informations qu'ils ajouteront ensuite à Google Maps à l'aide de l'outil Google Map Maker dès qu'ils auront accès à un ordinateur connecté à internet.

Google Map Maker permet d'ajouter et de mettre à jour des informations géographiques, qui seront consultables par des millions d'internautes sur Google Maps et Google Earth. En partageant des informations sur les lieux que vous connaissez, comme votre campus ou les entreprises installées dans votre ville, vous pouvez contribuer à enrichir Google Maps et en faire le reflet le plus précis possible du monde qui vous entoure.

Si cela vous tente et que vous avez envie d'inscrire votre communauté sur la carte, il vous suffit de vous munir de votre ordinateur portable, d'un chargeur et d'une bouteille d'eau et de rejoindre votre "Community Leader". Pour savoir quand l'événement aura lieu dans votre ville, vous pouvez consulter ce calendrier et contacter le "Community Leader" de Google le plus proche de chez vous.

Publié par Chukwuemeka Afigbo, Outreach Program Manager, Afrique sub-saharienne

Swaziland next African country to come to Street View

Thursday, October 24, 2013 | 7:26 PM

Ever wanted to visit the vast rolling green hills of Swaziland? Google’s Street View will now give you virtual access to this majestic Southern African kingdom. Swaziland joins South Africa, Botswana and Lesotho as the fourth African country to be featured on Street View.

Explore the terrains of the Mlawula, Malolotja and Simunye Nature Reserves or take a step on to the Low Level Bridge.



Malolotja Natural Reserve View Larger Map

Visit one of Swaziland’s pioneer conservation locations, the Mlilwane Game Sanctuary, which can be found in the Ezulwini Valley - also known as the ‘Valley of Heavens’. Users can also embark on an exhilarating adventure amongst the deep crevices of one of the world’s oldest mines, the Ngwenya mine, situated near the north-western border of Swaziland.


Mlilwane Game Sanctuary View Larger Map

Why not immerse yourself in 1850 Swaziland by discovering the hidden treasures that are held within the Mantenga Cultural Village? The village represents an authentic living museum of artefacts and tradition during this time period.

Google aims to make Street View more and more comprehensive and useful by adding new and unusual locations - with everything from the top of the world’s tallest building in Dubai down to the Great Barrier Reef in Australia, there is nothing that is out of reach.

Posted by Fortune Mgwili-Sibanda, Public Policy Manager, Google South Africa.


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Swaziland, prochain pays africain à entrer dans Street View

Avez-vous déjà eu envie de visiter les vastes collines verdoyantes du Swaziland ? Google Street View vous permet désormais d'accéder virtuellement à ce majestueux royaume d'Afrique australe. Le Swaziland rejoint l'Afrique du Sud, le Botswana et le Lesotho en quatrième place des pays d'Afrique représentés dans Street View.

Explorez les réserves naturelles de Mlawula, Malolotja et de Simunye ou allez voir le célèbre Low Level Bridge.

Vous pourrez aussi visiter l'un premiers sites de préservation du Swaziland, le sanctuaire animalier de Mlilwane, qui se trouve dans la vallée Ezulwini, aussi appelée la "Vallée du paradis". Et pourquoi pas, vivre l'aventure palpitante de survoler les profondes crevasses de l'une des plus anciennes mines du monde, la mine de Ngwenya, située à la frontière nord-ouest du pays.

Si cela vous tente, plongez dans le Swaziland des années 1850 en partant à la découverte des trésors cachés que recèle le Mantenga Cultural Village ! Ce village est un authentique musée vivant des objets et traditions en usage à cette époque.

Google a pour ambition de rendre Street View de plus en plus complet et utile en l'enrichissant de lieux nouveaux ou insolites - depuis la vue au sommet du plus haut bâtiment du mondeà Dubaï jusqu'à la Grande barrière de corail d'Australie, plus rien ne sera hors de portée.

Publié par Fortune Mgwili-Sibanda, Public Policy Manager, Google Afrique du Sud

Announcing the winners of Kenya’s Doodle 4 Google competition

Wednesday, October 23, 2013 | 9:48 PM

After thousands of submissions and online votes cast, Esther Wamai Githinji, a 17 year old Grade 13 student of Shree Cutchi Leva Patel Samaj School, emerged as the winner of the 2013 Kenya Doodle 4 Google competition. Her doodle, “Feet of Gold,” was featured on the Google Kenya homepage on Mashujaa Day - 20 October 2013.


From marathon runners to wildlife to cultural melting pots, we were wowed by these young artists’ creative interpretations of this year’s theme, “My Kenya”.
Esther, who says her inspiration came from her art teacher and parents, will now receive a KES 800,000 tuition scholarship, an Android Tablet and a KES 800,000 technology grant for her school.

In addition to the National Winner, Google fans across the country helped to choose the 3 National Age Category Winners, who will each receive an Android tablet and assorted prizes:


Following the awards ceremony, all 30 finalists will continue to display their artwork on the Doodle for Google website for the public to view until the end of the year.

Thanks to all who voted and helped us select the 2013 Doodle 4 Google winners! Even more importantly, thank you to all of the students who submitted their artwork and the parents and teachers who continue to inspire and support these young artists.

Posted by Amanda Gicharu-Kemoli, Marketing Manager, Kenya



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Résultats du concours Doodle 4 Google Kenya


Parmi des milliers de propositions et de votes en ligne, Esther Wamai Githinji, étudiante de 17 ans en première année à la Shree Cutchi Leva Patel Samaj School, est sortie vainqueur du concours Doodle 4 Google Kenya 2013. Son doodle, « Feet of Gold » a été publié sur la page d'accueil Google Kenya, durant le Mashujaa Day, le 20 octobre 2013.

Des marathoniens aux animaux sauvages en passant par le melting-pot des cultures, nous avons été impressionnés par les œuvres innovantes de ces jeunes artistes qui portaient cette année sur le thème « Mon Kenya ».

Esther, qui confie que son inspiration lui vient à la fois de son professeur d’art et de ses parents, va recevoir une bourse d’études de 800 000 KES, une tablette Android ainsi qu’une bourse technologique de 800 000 KES pour son école.

En plus du Gagnant National, les fans de Google à travers tout le pays ont aidé à choisir les 3 gagnants nationaux pour chaque catégorie d’âge, qui recevront chacun une tablette Android et des prix divers :

Après la cérémonie de remise de prix, les 30 finalistes continueront d’exposer au public leurs œuvres sur le site internet Doodle for Google jusqu’à la fin de l’année.

Merci à tous ceux qui ont voté et qui nous ont aidés à choisir les vainqueurs du Doodle 4 Google ! Et surtout un grand merci à tous les étudiants qui ont envoyé leurs œuvres ainsi qu’aux parents et enseignants qui continuent d’inspirer et d'accompagner ces jeunes artistes.

Publié par Amanda Gicharu-Kemoli, Directrice Marketing, Kenya

Google Ad Grants Live In South Africa!

Tuesday, October 22, 2013 | 3:27 AM

Today’s good news is that the Google Ad Grants programme is now live in South Africa! Google Ad Grants empower nonprofit organizations through $10,000 per month in in-kind AdWords advertising, to promote their missions and initiatives on Google.co.za



Ad Grantees build and manage their own AdWords accounts just like paying advertisers, but participate with the following conditions:

  • A daily budget set to $330 USD
  • A maximum cost-per-click (CPC) limit of $2 USD
  • Only run keyword targeted campaigns with text ads that appear on Google.com
To be eligible for the programme, organizations must:
  • Hold current and valid charity status, as determined by their country.
  • Acknowledge and agree to the application’s required certifications regarding non-discrimination and donation receipt and use.
  • Have a functioning website with substantial content.
For more details on eligibility please visit http://www.google.co.za/intl/en/grants/. If your organization meets our eligibility guidelines we encourage you to apply to join the programme today!

Posted by Elizma Nolte, Marketing Manager, Google South Africa



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Google Ad Grants arrive en Afrique du Sud


La bonne nouvelle du jour est que le programme Google Ad Grants est désormais disponible en Afrique du Sud ! Google Ad Grants donne aux organisations à but non lucratif le moyen de bénéficier de l'équivalent de 10 000 $ par mois (au maximum) en annonces AdWords, pour promouvoir leurs missions et leurs initiatives sur Google.co.za

Les bénéficiaires (les "Ad Grantees") élaborent et gèrent leurs comptes AdWords exactement comme les annonceurs payants, mais avec les conditions suivantes :
  • Un budget quotidien de 330 $ US 
  • Un coût par-clic (CPC) limité à 2 $ US
  • Campagnes ciblées par mots clés uniquement, avec le texte des annonces apparaissant sur Google.com
Pour être éligible à ce programme, les organisations doivent :
  • Avoir un statut valide d'organisme caritatif, tel que défini dans leur pays.
  • Prendre connaissance et accepter les certifications requises par l'application concernant la non-discrimination, et la collecte et l'utilisation des dons.
  • Disposer d'un site web actif avec un contenu substantiel.
Pour plus de détails sur l'éligibilité, consultez le site http://www.google.co.za/intl/en/grants/. Si votre organisation répond aux critères d'éligibilité, nous vous invitons à postuler pour adhérer au programme dès aujourd'hui !

Publié par Elizma Nolte, Responsable Marketing, Google Afrique du Sud

Joining forces to advocate for a more affordable Internet

Saturday, October 19, 2013 | 12:04 AM

Imagine a world where you spent 30% of your monthly income on basic Internet service. Could you pay? What might you have to give up? For billions of people, these costs--and questions--are an unaffordable reality that stop them from accessing the Web.

This week, Google joined more than 30 members to launch the Alliance for Affordable Internet (A4AI), a new coalition that cuts across boundaries of geography, sector, or size. Our goal? To help bring down Internet costs through policy change.

New technologies play a crucial role in bringing the Internet to more people worldwide--we’ve developed and invested in many of these big ideas over the years. We broke new ground with balloon-powered Internet access, are bringing broadband to Africa with TV White Spaces, and are funding organizations like the Internet Society to develop Internet Exchange Points in emerging markets.

These technologies can have major impact, but no single solution can connect the 5 billion people living without Internet access today. Policy change can help new innovation take hold and flourish; outdated policies can stifle progress. In Kenya and other markets that have adopted national broadband plans, policy change has delivered results, fast. A4AI will focus on those policy changes that can bolster new access technologies and initiatives and make the Internet more affordable to people worldwide.

Initiated by the World Wide Web Foundation, A4AI includes members from the technology, government, and nonprofit worlds, from developed and developing countries. Google--along with other Global Sponsors--joined the alliance in its early days to help establish the vision that exists today, as well as rally more members that share our mission for affordable Internet access.

A4AI has a specific goal in mind: to reach the UN Broadband Commission target of entry-level broadband access priced at less than 5% of monthly income worldwide. (According to the ITU, households in the developing world pay roughly 30% of monthly income for a fixed connection, so there’s a lot of work to do.) We’re working with A4AI on several initial projects, including:

  • Publishing a set of policy and regulatory best practices
  • Working directly with governments, with plans to engage with 10+ countries by the end of 2015
  • Releasing the first edition of an annual affordability report

Ultimately, A4AI is about making the world a more connected place. Over 90% of people in the 49 least developed countries are still not online. A4AI wants to help people in these countries to get access, to find a door to new information, opportunities, and ideas. Dr. Bitange Ndemo, the honorary chairperson of A4AI, has called for the need to remove “analog policies that are holding back the digital revolution” in emerging markets.

We couldn’t agree more.

Posted by Jennifer Haroon, Access Principal

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Unir nos forces pour un Internet plus abordable

Imaginez un monde où vous dépenseriez 30 % de vos revenus mensuels pour un service Internet de base. Pourriez-vous vous l'offrir  ? A quoi devriez-vous renoncer en échange ? Pour des milliards de gens, ces coûts -- et ces questions --sont une réalité inaccessible, qui les prive d'accès à Internet.

Aujourd'hui, Google rejoint plus de 30 membres pour lancer l'Alliance pour un Internet abordable (A4AI), un nouveau collectif qui ignore les frontières géographiques, sectorielles ou de taille. Notre objectif ? Contribuer à diminuer les coûts d'Internet par un changement de politique.

Les nouvelles technologies jouent un rôle essentiel pour donner accès à Internet à de plus en plus de personnes dans le monde - nous avons développé et investi dans plusieurs de ces grandes idées au fil des années. Nous avons franchi un nouveau pas avec l aconnexion Internet via de gros ballons gonflables, nous fournissons le haut débit en Afrique avec les espaces blancs télévisuels  et finançons des organismes tels que l'Internet Society pour développer des points d'échange Internet sur les marchés émergents.

Ces technologies peuvent avoir un effet considérable, mais aucune solution isolée ne peut connecter les 5 milliards d'individus vivant aujourd'hui sans accès à Internet. Un changement de politique est seul à même d'aider les innovations à s'ancrer et s'épanouir ; des politiques dépassées ne peuvent qu'étouffer le progrès. Au Kenya et sur d'autres marchés qui ont adopté des plans nationaux pour le haut débit, le changement de politique a produit des résultatsrapides. L'A4AI d'intéressera aux changements de politique qui peuvent accélérer les technologies d'accès et les initiatives, et rendre Internet plus abordable aux populations du monde entier.

Lancé par la World Wide Web Foundation, l'A4AI est constituée de membres issus du monde technologique, des gouvernements et des ONG, aussi bien de pays développés que de pays en développement. Google, aux côtés d'autres sponsors mondiaux, a rejoint l'alliance dès les premiers jours pour contribuer à établir la vision qui prévaut aujourd'hui, et pour rallier de nouveaux membres à notre mission de rendre l'accès Internet abordable.

L'A4AI a un objectif précis : atteindre l'objectif fixé par la commission des Nations Unies sur le haut débit, à savoir un accès au haut débit de base à un coût ne dépassant pas 5 % du revenu mensuel dans le monde. (Selon l'ITU, les foyers dans le monde en développement dépensent environ 30 % de leur revenu mensuel pour une connexion fixe ; il y a donc beaucoup de chemin à faire.) Nous travaillons avec l'A4AI sur plusieurs projets, dont :

  • Publication d'un ensemble de bonnes pratiques au niveau politique et réglementaire.
  • Travail en direct avec les gouvernements, avec des plans à engager avec plus de 10 pays d'ici à la fin 2015
  • Publication de la première édition d'un rapport annuel sur les coûts abordables

Enfin, l'A4AI travaille à rendre le monde plus connecté. Plus de 90 % des personnes dans les 49 pays les moins développés ne sont toujours pas connectées. L'A4AI veut aider les habitants de ces pays à se connecter, à s'ouvrir sur le monde en accédant aux dernières informations, aux opportunités et aux idées. Le Dr. Bitange Ndemo, président d'honneur de l'A4AI, a appelé à se débarrasser des « politiques analogiques qui freinent la révolution numérique » dans les marchés émergents.

Nous ne saurions mieux dire.

Publié par Jennifer Haroon, Access Principal