68e Festival de Cannes
Vu de l’extérieur, ça a l’air à la fois glamour et joyeusement cinéphile ici, mais Cannes peut générer aussi les tourments de l’enfer. Il suffit qu’un film soit hué par des journalistes à la toute première séance cannoise pour que la rumeur de navet s’amplifie, que chacun renchérisse à pleins sites d’épithètes assassines, et que son sort soit scellé, sans espoir de rédemption.